voudrais-tu, ma mie
accéder à mes ardeurs, mes demandes enflammées, mes
succursales en-miettées afin que toujours au satin de ta peau concèdent
les murmures de ma voix emprisonnée.
afin qu'au contact de tes petits pas enflammés, à reculons
je trésaille e trébuche, et m'effondrant à la fleur de tes tourments
nous- ronde de nuit, je virevolte et crépite de toi.
Voudrais tu bien mon adorée, contempler cette aube lointaine
qui de ses segments emmurés nous rappelle nos errances.
Te souvenir d'une main, d'une ombre, du reflet de ce masque que
toujours tu m'offris aux lendemains de nos mortelles rencontres
voudrais tu ma mort devenir ma vie ?
Ton commentaire fut agréable à lire. :)
Le design de ton blog est magnifique en tout cas et l'image de ton texte aussi.
au plaisir de revenir et de te revoir par chez moi.